3F à vos côtés

Suite au décès de votre conjoint, vous vous retrouvez seule avec vos enfants. Vous avez besoin d’aide pour être guidée dans vos démarches, tant pour les obsèques que pour la succession à venir.

Il faut savoir que lorsque les héritiers acceptent la succession, ils sont alors responsables des dettes du défunt.

Afin d’échapper aux dettes d’un proche décédé, deux choix sont possibles :

Refuser l'héritage : dans ce cas, les héritiers ne recevront aucun bien et ne payeront pas non plus les dettes du défunt.

Accepter l'héritage à concurrence de l’actif net : les héritiers percevront leur part d'héritage sans avoir à payer les dettes qui dépasseraient la valeur des biens du défunt.

Dans ce genre de situation inhabituelle et qui nécessite l’avis d’un expert, il est conseillé de vous adresser à un notaire. C’est le professionnel à même de répondre aux questions en matière de succession.
Vous pouvez vous adresser à votre notaire habituel, et vous pouvez également obtenir des premiers éléments d’information en contactant la permanence téléphonique d’Allo Notaire au 0892 01 10 12.

Sachez, par ailleurs, qu’un site internet est disponible afin de répondre à certaines de vos questions et vous aider à trouver un notaire proche de chez vous (https://www.notaires.fr).

Vous venez de perdre un proche et avez besoin d’aide dans les démarches ? Vous aimeriez bénéficier d’un soutien pour continuer à avancer ? Cette épreuve déstabilise votre situation financière ? Nos conseillers sont là pour vous écouter, vous informer sur les démarches à accomplir, et vous orienter vers des organismes spécialisés si besoin.

Votre enfant est en situation de handicap, vous avez été obligé(e) de le scolariser dans un établissement spécialisé loin de votre domicile. En plus d’éprouver une forte culpabilité quant à cette situation, cette décision déséquilibre le budget de la famille.

Dans un premier temps, rapprochez-vous du chef de l’établissement scolaire. Il pourra adresser une demande d’aide auprès du Conseil Départemental. De cette façon, votre enfant bénéficierait de la prise en charge des transports en commun, ou d’un transport adapté.
Une indemnisation kilométrique peut aussi vous être versée si vous utilisez votre véhicule.

Vous pouvez aussi demander conseil auprès de votre Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH).
Afin d’aider les familles à financer les surcoûts liés au handicap, ils proposent, sous certaines conditions, un complément à l’Allocation d’Education de l’Enfant Handicapé (AEEH), ou une Prestation de Compensation du Handicap (PCH).

Par ailleurs, vous pouvez également solliciter votre caisse de retraite complémentaire et votre institution de prévoyance afin de les interroger sur une possibilité d’aide financière.

Vous devez faire face à des dépenses liées à un handicap ou à une situation de dépendance. Cette situation créée un déséquilibre de votre budget, et quelle qu’elle soit, elle est particulière et mérite une réponse personnalisée. Vous pouvez contacter un conseiller qui saura vous aider et vous accompagner dans vos démarches.

Vous avez décidé de divorcer par consentement mutuel. Dans le cadre de votre divorce, votre ex-conjoint(e) et vous avez choisi la garde alternée pour vos enfants afin de les déstabiliser le moins possible. Vous vous interrogez toutefois sur les démarches qui en découlent.

En ce qui concerne les allocations familiales, vous pouvez désigner qui de votre ex-conjoint(e) ou vous les percevrez ou décidez de les partager d’un commun accord.

La CAF met à votre disposition un formulaire dédié à cette déclaration. En cas de désaccord, le partage devient la règle.

Quant à la couverture santé, l’Assurance Maladie vous permet d’inscrire les enfants sur vos deux cartes Vitale. Nous vous recommandons de vérifier que c’est bien le cas et que le système Noémie (rattachement à la complémentaire santé) est bien effectif pour vos enfants.

Vous êtes en train de divorcer et vous êtes perdu(e) dans les démarches administratives. Au-delà des démarches, vous avez besoin de réorganiser votre vie.

Vous ne savez pas par quoi commencer et avez besoin d’être guidé(e). Un conseiller peut vous accompagner quel que soit le sujet : démarches administratives, logement, garde d’enfant, gestion du budget, besoin d’échange.

Suite à des problèmes de santé, vous allez être dans l’incapacité d’accompagner vos enfants à l’école durant plusieurs semaines. Cette situation vous inquiète, et vous ne savez pas à qui vous adresser ?

Lorsque le besoin d’accompagnement est ponctuel, le plus simple est de solliciter l’entourage. Qu’il s’agisse de la famille ou d’autres parents d’élèves en qui vous avez confiance.

Si vos enfants doivent réaliser seuls une partie du trajet, sachez qu’il existe des balises GPS afin de suivre vos enfants à distance. Sous forme de petits boîtiers à glisser dans le sac ou bien sous forme de montres, ces traceurs indiquent en temps réel où se trouvent vos enfants. (Le dispositif coûte entre 40 et 100 € selon les modèles, auquel il faut ajouter un abonnement téléphonique mensuel de 5 à 20€). Un bon moyen pour vous rassurer, vous et vos enfants !

Vous pouvez également faire appel aux Services A la Personne (SAP). On désigne par ce terme les prestations de services rendus aux particuliers.

L’accompagnement des enfants dans leurs déplacements est une des compétences des SAP. Les prestations de SAP sont rendues par des organismes certifiés qui peuvent être des entreprises ou bien des associations. Leurs services sont facturés entre 20 et 30€ de l’heure. Sachez que dans le cadre de l’emploi de SAP, vous pouvez bénéficier d’un crédit d'impôt de 50% des dépenses supportées, dans une limite annuelle de 12 000 €.

Vous souhaitez être aidé(e) pour la mise en place de services à la personne (garde d'enfant, aide ménagère) ?
Contactez un conseiller qui pourra vous aider à trouver des solutions adaptées à votre situation et des organismes près de chez vous.

Les démarches en ligne sont de plus en plus répandues.
L’administration fiscale vous invite à déclarer vos revenus en ligne via Internet.
Vous souhaiteriez vous lancer, mais vous ne savez comment vous y prendre ?

Les organismes publics tels que le Trésor public, la mairie, la préfecture ont développé des sites Internet pour faciliter les démarches des citoyens.
Désormais, il est fortement conseillé de déclarer ses revenus en ligne. Dans ce cas précis, vous aurez à suivre les indications fournies sur la déclaration de vos revenus, adressée par votre centre des impôts.
Les informations suivantes sont à relever pour vous permettre de vous connecter :

• Votre numéro fiscal
• Votre numéro d'accès en ligne
• Votre revenu fiscal de référence

Ces numéros sont nécessaires pour créer votre espace en ligne et garantir votre identité.

À l’issue de la création de votre espace personnel, vous aurez la possibilité d’effectuer différentes opérations telles que consulter vos avis d’échéance, imprimer vos avis d’impôts sur le revenus ou de taxe d’habitation, payer vos impôts en ligne, souscrire à la mensualisation…

Pour s’adapter aux nouveaux usages, sachez que l’administration fiscale a également développé une application pour smartphone : « Impots.gouv ».

Vous souhaitez davantage d’informations concernant vos démarches administratives en ligne ? Contactez un conseiller qui saura vous écouter et vous guider.

Vous allez prochainement être hospitalisé(e) pour subir une opération. Le chirurgien vous informe qu’à l’issue de l’intervention, vous devrez rester en clinique une semaine avant de pouvoir rentrer à votre domicile. Vous n’êtes pas au fait sur les démarches à réaliser avant le Jour J ?

En premier lieu, il convient de vous renseigner auprès de votre médecin, afin de connaître les éventuels dépassements d’honoraires et les frais restant à votre charge.
Vous pouvez également contacter votre assurance complémentaire santé pour savoir si une prise en charge est possible.
En effet, l’Assurance Maladie prend en charge les frais d'hospitalisation à hauteur de 80 %, et c’est l’assurance complémentaire santé (communément appelée « Mutuelle ») qui peut prendre en charge les 20 % restants, ainsi que certains dépassements d’honoraires ou suppléments, selon votre contrat.
Profitez-en pour questionner votre complémentaire santé sur les garanties d’assistance auxquelles vous pourriez avoir droit au moment de votre sortie d’hospitalisation.

Si vous êtes en situation d’activité, prévenez votre employeur le plus tôt possible, de la date et de la durée de votre absence.
Enfin, si vous êtes salarié(e), c’est ce bulletin de situation ou d'hospitalisation qui fait office d'arrêt de travail pour la durée de votre hospitalisation.

Vous avez du mal à vous y retrouver dans toutes ces démarches ? Vous avez besoin d’aide et de conseils pour organiser votre retour à la maison ? Contactez un conseiller afin qu’il vous accompagne selon vos besoins spécifiques.

Vous trouvez que avez pris du poids au fil des années, cependant, vous vous sentez bien dans votre peau. Vous vous interrogez finalement sur les risques du surpoids sur votre santé.

Le surpoids et l’obésité sont notamment entraînés par les récentes évolutions de notre mode de vie : les modifications alimentaires et la réduction de l’activité physique. Ainsi, ils résultent d’un déséquilibre entre les apports et les dépenses énergétiques.
Mais ils peuvent également trouver leur origine dans de nombreux facteurs comme : l'hérédité, la culture alimentaire, la sédentarité, ou l'arrêt du tabac… L’excès de poids peut entraîner des troubles de la santé comme le diabète, l’hypertension artérielle, le syndrome de l’apnée du sommeil, ainsi que des maladies articulaires telles que l’arthrose.
Le calcul de votre Indice de Masse Corporelle (IMC), ainsi que votre tour de taille peuvent vous permettre de déterminer si vous êtes en surpoids.

Afin de bénéficier de conseils précis, n’hésitez pas à vous adresser à votre médecin traitant qui pourra réaliser un diagnostic, et vous aider à déterminer les facteurs expliquant votre prise de poids.

Vous avez envie de prendre en main vos habitudes alimentaires pour une vie saine et avez besoin d’être conseillé(e) et guidé(e) ? Contactez un conseiller par mail ou par téléphone afin de faire le point sur votre situation et atteindre votre objectif.

Vous êtes convaincu(e) des bienfaits du sport sur votre santé. Vous souhaiteriez vous y mettre mais vous ne parvenez pas à trouver l’énergie après votre travail pour faire une activité physique.

La fatigue, ou la crainte d’être fatigué(e), peut vous décourager dans votre décision de pratiquer une activité physique.
Il semble nécessaire dans un premier temps d’identifier cette fatigue. Est-elle physique ou psychique ?
En fonction, parlez-en à votre médecin traitant afin de faire un bilan de santé et d'échanger sur vos capacités.
Mais sachez que la pratique régulière d’une activité physique permet au contraire de diminuer la fatigue et donne de l'énergie.

Pour prendre goût à la pratique, commencez en douceur et augmentez ensuite l’intensité selon vos envies et capacités. Vous pouvez commencer par augmenter votre activité physique dans vos actes de la vie courante. Chaque fois que cela est possible, privilégiez la marche à pied, restez debout ou prenez les escaliers plutôt que l’ascenseur.

Et si vous envisagez de pratiquer un sport, tournez-vous vers une activité douce. Privilégiez également les sports en groupe qui vous aideront à maintenir votre motivation.

Vous vous sentez fatigué(e), peu motivé(e) pour faire du sport. Pour tenir une activité physique dans le temps, il vous faut des raisons d’agir. Contactez un conseiller par mail ou par téléphone afin d’échanger sur votre situation. Il pourra vous accompagner pour vous aider à atteindre votre objectif.

Vous effectuez plusieurs kilomètres chaque jour en voiture. Vous ne supportez plus cela même lorsque ce n’est pas vous qui conduisez. Vous ne vous sentez pas en sécurité et avez peur d’avoir un accident. Cela vous stresse et vous avez besoin d’aide pour en finir avec cette situation ?

Si une telle peur vous empêche de conduire normalement, il est important de vous faire aider pour retrouver une vie normale le plus vite possible. En effet, si la situation empire, cela risque de devenir très handicapant et pourrait altérer votre vie personnelle et professionnelle.

La première chose à faire est de trouver une personne en mesure de vous aider à surmonter votre peur. C’est très difficile à faire tout(e) seul(e), et ne pas être aidé(e) ne fera que prolonger vos souffrances inutilement. Consultez d’abord un médecin et parlez-lui de ce que vous ressentez lorsque vous conduisez. Vous pouvez lui en parler sans crainte car la phobie de conduire n’est pas rare, elle a même un nom, il s’agit de l’amatophobie. Votre médecin pourra d’abord vous confirmer s’il s’agit ou non d’une phobie, puis il vous orientera vers le spécialiste adéquat.

Parler de votre phobie est déjà très important : cela vous permet de faire face à votre problème et d’accepter le fait que vous devez faire quelque chose pour le résoudre.

En complément, il peut aussi être intéressant de vous renseigner sur les stages de conduite et de sécurité. Certains organismes, ou même des auto-écoles, sont spécialisés pour aider les conducteurs angoissés à reprendre le volant.

Vous ressentez un mal-être qui vous handicape au quotidien et peut avoir des impacts sur votre vie personnelle ou professionnelle ? Contactez un conseiller par mail ou par téléphone afin de faire le point sur votre situation